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Un, deux, trois et Chachacha en Pasouvenlanye. Barraque
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 Un, deux, trois et Chachacha en Pasouvenlanye.

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Serfine
Artiste du concours d'été
Serfine


Messages : 10
Date d'inscription : 23/07/2010
Guilde : Not-Yet Illufuge

Un, deux, trois et Chachacha en Pasouvenlanye. Empty
MessageSujet: Un, deux, trois et Chachacha en Pasouvenlanye.   Un, deux, trois et Chachacha en Pasouvenlanye. Icon_minitimeVen 23 Juil 2010 - 2:15

Bon eh bien je ne suis pas sûre que c'est bien ici qu'il faut poster vu qu'il n'y a aucun message. Peut-être que j'inaugure ?
Alors moi comme j'aime ni filmer, que je dessine comme une enfant de quatre ans.. bon okay ils dessinent toujours mieux que moi, bah moi je vais faire une histoire (oh comment c'est trop pas dur ! :choc: ).

Évidemment comme il est une heure du matin passé (Comment ça je geek ? *kof kof*), et qu'on peut éditer sans modération, je me contenterai de faire pour le moment une introduction ou un paragraphe pour débuter.

EDIT : En fait comme je suis très mauvaise pour écrire une histoire et que le temps me manque je me contenterai de ça.

RE-EDIT : Oui bon en fait j'ai toujours pleins d'intentions mais jamais de fin. Donc je vais faire la seule chose que je sais vraiment faire (et assez souvent en plus !), un monologue.

SANCTUAIRE INFERNAL DU DEMON VOLANT A QUATRE BRAS DE LA BANQUISE GRONDANTE DE FRIGOST

-"Réveille-toi mon enfant. Aujourd'hui et un grand jour. Aujourd'hui est le premier jour de ta vie d'adulte.". Telle est la première phrase que mon père me sortit à mon réveil, mon premier réveil des mes dix-huit ans. Personnellement, j'avais surtout envie de luire dire de la fermer et de décamper de ma piaule que je puisse roupiller un temps de plus comme à l'accoutumé. Mais cet aujourd'hui là, il était bien lourd, bien mais bien bien lourd : -"Il est temps pour toi de connaître ta destinée. -Dormir un peu plus ? -Il faut que tu saches que tous les cent quatre-vingt ans, le grand démon Mouahbabuk descend de la montagne pour dévorer les jeunes gens de dix-huit à vingt ans, comme le veut le contrat que nos anciens (c*uillons) ont passé avec lui." Tout de suite, c'était beaucoup moins drôles comme réveil.

"Il faut que tu t'en ailles, il le faut, je ne veux pas...", pour des raisons d'impatience, je ne vous transcrirai pas son monologue larmoyant du ère qui aime sa fille. Ce que cela pouvait être, larmoyant. "Tu dois partir, j'ai préparé un bateau pour que tu partes rejoindre mon frère à Bonta." Oui bien sûr que j'avais très envie, quitter ma jolie maisonnée de Frigost et me taper 1 mois de bateau pour aller voir les péquenauds bontariens. Trop chouette. En plus ils sont bon à rien (cette blague n'engage que moi, mais je la dis quand même). Je n'avais pas envie de partir. J'ai donc mis mon père dehors à grands coups de savates dans le fessier et je m'apprêtai à réfléchir à l'avenir radieux que me réservait cette monstrueuse créature dont le nom sorti d'un bwork-surprise m'inspirait plus de l'admiration pour la cruauté de sa mère que de la simple terreur. Au début, j'étais sûre que c'était une bonne blague. On aurait dit une vieille histoire qu'on raconte au près du feu pour les enfants et pour les adultes attardés. Tout ça pour dire que j'y croyais pas des masses. Malheureusement, mon bougre de père disait juste, il existait bien ce machin vorace qui voulait manger ma chair tendre. Comment l'ai-je su ? Fermeture des ports, interdiction de quitter la ville, obligation de manger trois steak de boufmouth par repas (vous ai-je déjà dit que ça sent la même odeur que la moisissure des chaussettes de Oto Mustam ? Non j'imagine, vous en seriez mort.).

Un bref récapitulatif de ce début d'histoire car là en fait, tout de suite, maintenant, pour ainsi dire de cet instant présent, je suis déjà sur un des flancs de la montagne, parmi les divers arbres qui ont la capacité de trembler (un truc géniallissimement fourbe pour foutre une peur de sram) à chaque sifflement du vent. Avant de partir dans cette expédition lumineusement idiote, j'avais pris un peu de documentation dans les jolies bibliothèques de ma jolie ville, et parmie ces très jolis livres, j'en trouva une quinzaine sur Mouahbabuk. Mouahbabuk est atrocement moche (Etonnant ?), méchant (Non ?), sadique (C'est pas vrai ?!), et très très vorace (Qui l'aurait cru ?). Mais dans ma petite tête de névrosée à l'âme torturée, je me suis dit que, malgré ma psychose et ma tendance unanime à être plus lunatique que la lune, je devrai aller lui botter les fesses à ce chacal. Mais une chose était contraignante : les écrits décrivent l'hideuse bestiole comme un géant à la peau rouge, avec des ailes tofu géant qui lui permettent de voler, sans compter qu'il avait quatre bras monstrueusement musclés au bout desquels ils avaient des griffes de... de monstres. Impressionnante bestiole non ? Moi je penchais surtout pour une bonne blague car un truc pareil sortirait tout droit d'un livre d'horreur (sauf pour les ailes de tofus sans doute). A croire qu'Otomaï a encore joué avec ces fioles. Il est vraiment énervant ce bonhomme, faudrait que je lui botte les fesses aussi d'ailleurs.

Je m'étais endormi près d'un tremble. L où je m'étais blottie, le vent ne soufflait pas, ce qui était parfait pour se reposer sans ce soupçon de frisson insupportable. Je fermais les yeux en espérant que a vilaine bête ne serait qu'une mauvaise plaisanterie. Mais la montagne sacré qu'est la plus haute montagne de Frigost était réputé pour ces nombreux mystères. Chose fortement pénible lorsqu'à peine touché la majorité on se retrouve à jouer à l'aventurière chevronnée à la recherche d'un démon qui peut apparemment vous transformer en steak de bouftou en un soufflement de narine (la gauche, pas la droite). A mon réveil, je me retrouva en train de flotter dans les airs. Le paysage était devenu tout violet, l'air sentait le soufflement printanier et coloré des lueurs dansantes d'une matinée où les fleurs éclosent par milliers. Je me mis donc à marcher dans cette semi-aurore boréale violette sur un sol caoutchouteux. Le terrain était ballonné. Ce qui était vraiment pas une bonne chose pour mes jolis pieds. Je proférais donc entre chaque pas quelques insultes et blasphèmes pas du tout choquant (enfin si quand même) jusqu'à croiser un bouftonmouth, un petit bouftonmouth. Il était très mignon...

Après avoir terminé mon repas, je continua ma route sur ce terrain très désertique. Je commençais à douter de ma survie mais je n'étais pas du genre à attendre la mort sans rien faire. D'ailleurs ce bouftonmouth était une chance, il avait dû se perdre lui aussi. Il me fallait donc trouver la sortie dans ce hameau violet sans fin. De longues journées cuisantes, toujours une terre insolente et violette.

Une nuit, morte de fatigue et faim, et la gourdasse vide, j'allais m'écrouler, et m'endormir, m'endormir à tout jamais dans le fin fond du monde et mourir. Puis soudain, la chute : je m'étala royalement sur le sol violet. J'avais heurté quelque chose. Un bout de bois planté dans le sol m'a dégommé le pied. Quelque chose ! Enfin quelque chose ! Comme je ne voulais pas me salir les mains à creuser, une flèche explosive fit l'affaire. Bon okay, je me la pète pas, il en a fallut deux. Et je déterra un panneau : "Au dessus de l'aurore colorée des étoiles encore dormantes, brillent les feux luisants de la tendresse que je te porte." Enfin c'était la traduction au dos, la vraie phrase étant "Pasouvenla sam g'nene bowcou" (du Sufokien tout craché !)

C'était beau. Mais c'était super niais. Et super inutile. Dans le doute, j'ai voulu goûter, c'était pas mangeable non plus. En revanche, je ne le savais pas sur le coup, j'avais débouché un puits, avec de l'eau dedans. Très sympathique car j'avais grand soif, enfin bon, on va dire que l'explosion soudaine du sol, j'ai beaucoup moins aimé. Surtout quand il en sortit une énorme Cawotte, avec des yeux, et surtout, des dents.

"MOI AVOIR FAIM !"... non non ce n'est pas la Cawotte qui criait. Après quelques coups de dents plus tard, je fus repus, il me restait encore un bout de Cawotte, je le tailla et en fis un sac. Me revoilà de nouveau en marche, avec ce panneau et cette phrase ridicule. Je réfléchis, réfléchis, réfléchis. Et j'ai finis par trouver, par hasard. A quelques kilomètre je trouve un énorme trou puis un autre pas très loin. Et juste au dessus, d'énormes étoiles en métal de différentes couleurs. Etant d'une rare intelligence, j'ai tapé sur toutes les étoiles. Mauvaise idée. Des trous sortirent successivement du feu, de la fumée, des caillots de roches magmatiques. Très amusant, alors j'ai continué, continué, puis vint le précipice. Les deux trous se mirent à aspirer vers l'intérieur, et je fus instantanément arraché de ce désert aride vers... la neige de Frigost. Devant moi, le terrible Mouahbabuk.

Il était vraiment horrible. Il me rappelait Molo, un ami sram quand il râle (puisse-t-il ne jamais passer par là). En fait, il m'avait avalé durant son sommeil, mais j'étais protégé par un sortilège de la fée Crochette qui interdisait de mourir dans les bois car ça faisait sale dans la neige. Ce qui explique pourquoi le sale monstre faisait un raid en ville. J'étais donc retenu dans la zone où devait se situer son cerveau et je suis ressorti par une de ses narines (maintenant on sait à quoi il porte son amour, avec de telles narines...). J'aurai bien argumenté voire même juste bavardé pour éviter une confrontation où je voyais ma vie défilait comme des brindilles sur le feu, mais ayant déjà bien exploré l'étendu du vide interstellaire de sa cavité neuronale, j'en déduisis qu'il valait mieux courir. Je me suis donc éclipser, tellement discrètement qu'il m'a vu tout de suite : moi je vous dis, au moins, on pouvait facilement le repérer. Cela éviter les attaques sournoises genre "Là ? Plus là... Kikoo ! Et vlan coup de griffes x4". Comme ses enjambées faisaient sept lieux comme les bottes du Petit Pouchet, il était particulièrement difficile de le semer.

Me voilà donc dans un sérieux dilemme : mourir écrasé par un pied, par un coup de griffe, ou par un coup de mâchoire ? Dur dur. C'était une situation forte ennuyeuse pour moi. Il était derrière moi, et dans son haleine fétide et fumante j'entendis : "Moi faim, moi manger toi, moi manger toi deux fois !". Faisait-il référence au fait que la dernière fois il m'avait loupé ? Peut-être. Quoiqu'il en soit j'ai eut un peu de mal à trouver une solution. Et si le panneau était a solution ? Mais oui ! C'est ça !

"PASOUVENLA SAM G'ENE BOWCOU !!!!"... Et il tomba raide mort.

Non je blague, ça n'a rien fait du tout, j'ai même failli me mangeais un coup de griffe. Revenu au point de départ, j'étais bien embêtée. De ses narines il cramait la région pendant que je cherchais une cachette parmi les creux rocheux. Malheureusement cela sentait de plus en plus le roussis. Je décocha donc mes flèches punitives dans sa face. après une dizaine, je me suis dit que c'était pas très utile de l'énerver, je me remis en quête d'une cachette, mais il était là, devant moi, il m'avait devancé. Le fourbe.

Résumé : un arc, plus de flèches (tu le trouves où le bois pour faire un feu dans le désert violet toi ?), une gourdasse vide, et un sac cawotte. Et le dit panneau ! "Et si ses narines étaient sa faiblesse ?" Rien à y perdre. Je décocha le panneau et du rondin je boucha sa première narine, puis la deuxième avec le sac cawotte. Victoire ! Il hurlait de douleur ! La lave restait bloquée dans son nez et il mourra lentement, pendant que je le dépouillais de ses affaires. Victorieuse, je rentra à la ville où je fus acclamé... par des insultes : "Hoooou hooouuu !", "Pourquoi tu as fait ça !", "Ouai ! On allait enfin se débarrassaient de la racaille et des fainéants !". Bref, j'ai faillis être lapidé à coups de sardines gelées.

Maintenant vous savez pourquoi je traîne à Bonta... Comment ça mon histoire elle est pas crédible ??

Fin ?

Edit : 23h50 PLZ ! Very Happy
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